Réunion du 3 juillet 2018
Étaient présents : Fred, Pascale, Clément, Bruno, Gwen, Marc, Hervé et Claudie
A propos de la rotation de la présidence
On n'a pas poursuivi longtemps le débat pour ne pas manger sur la session du 26 juillet, mais juste évoqué quelques points qui pourront permettre à d'autres d'avoir du grain à moudre.
Marc soulignait que "1 an, c'est court pour se faire au rôle". Question se (re)pose donc du rôle du président. Car si un an c'est "court", si il n'y a rien de spécifique à faire, c'est pas si court que ça.
J'ai fais un peu d'historique pour ceux qui n'étaient pas là à l'époque. Lorsque SCANI a récupéré le réseau de Pclight, nous étions une association avec un conseil d'administration seul. Pas de présidence, pas de bureau, uniquement deux instances "officielles" :
- l'AG, souveraine et "dernier recours décisionnel"
- le conseil d'administration, uniquement présent pour trancher des débats ne faisant pas consensus dans les actifs mais n'ayant pas une importance suffisante pour envisager d'aller enquiquiner l'AG
Les actifs sont une instance opérationnelle et décisionnelle qui est indiquée et documentée dans les statuts mais n'a pas d'existence légale pour la bonne et simple raison que la loi ne prévoit pas qu'on puisse décider sous prétexte qu'on fait. C'est pourtant bien ce qui se passait du temps de Pclight, ce qui se passe partout ailleurs dans la fédé, etc .. bref, c'est une partie de "l'ADN SCANI" pour paraphraser un actif
SCANI sous sa forme coopérative a un président par obligation légale. Il avait été acté qu'il changeait tous les ans pour justement éviter qu'il ne prenne trop d'importance dans la structure et qu'il finisse, au choix, par s'user tout seul ou par agir dans le mauvais sens et se mette à nuire au reste, voir les deux.
Ceci étant, ce n'est pas parce qu'on a "toujours fait comme ça" qu'on ne peut pas faire évoluer les choses. L'exposé des idées s'est arrêté sur quelques suggestions de ce que pourrait faire un président : de la représentation publique, de la cohésion des actifs, du déminage de fâcheries.
A mouliner pour le 26 juillet.
A propos des personnes qui ne paient pas leurs factures
Il y a une grosse dizaine de gens qui ont une dette envers SCANI qui dépasse 100 €. Le consensus est arrivé sur le fait qu'on ne pouvait pas bêtement les couper en attendant qu'il se passe quelque chose, d'autant que certains servent de relais et que ça pourrait donc avoir des effets collatéraux. Une petite quinzaine d'autre a une dette inférieure à 100 €.
Dans les deux cas, l'idée est de les prendre un par un et de "voir ce qu'on fait". Tout a été renseigné dans le SI, on sait donc qui quoi quand et pourquoi de façon assez simple. Il faut à présent que quelques personnes lèvent la main pour prendre ça en charge.
Sur le plus long terme, Bruno et Fred maîtrisent maintenant toute la procédure d'alimentation du SI avec les infos de rejets de prélèvements (du coup, ça fait 2 .. si un 3e voulait, ça gâcherai rien ..). Reste à savoir qui gère la discussion avec les personnes concernées. Les personnes qui veulent bien prendre en charge le passif peuvent, ensuite, avec un travail moins conséquent, prendre en charge chaque mois les refus. C'est un boulot qui se case idéalement entre le 20 du mois et le 10 du suivant, mais c'est bien plus simple de demander "oh bah le mois dernier ça a foiré, on relance le mois prochain ?" que de dire "coucouuu c'est SCANI, vous nous devez 490 €".
Sur la qualité du réseau et le support
Certains auront peut être remarqué la question ajoutée en fin de listing sur les votes concernant le support et la qualité du réseau. C'est une "question d'appel" qui va en prime permettre de détecter les gens qui ont des problèmes. La discussion autour de tout ça a été assez longue.
Il y a deux sujets :
- ce qu'on fait pour être plus au courant des problèmes de réseau afin d'éviter au maximum à attendre que quelqu'un se plaigne pour aller régler (par exemple) une liaison hertzienne qui bagotte. Un certain nombre de tableaux et outils doivent être faits sur le SI. Ceux qui veulent jouer à donner des idées sont les bienvenus et une liste des endroits et des problèmes aurait tout intérêt à être établie, voir publiée.
ce qu'on fait pour les gens qui ne savent pas qui contacter lorsqu'ils ont un soucis. Le serpent de mer de "SCANI joignable par téléphone" est remonté. La question est de savoir dans quelle mesure des gens sont motivés pour recevoir des coups de fil (sur un numéro avec lequel on ferait des renvois), sachant que l'idée serait d'appliquer le rôle d'aiguilleur qui avait été défini en 2016 : une personne qui n'est pas là pour réparer le problèmes mais le cerner et aiguiller la demande vers la bonne personne pour la réparation (évidemment s'il s'agit de rebooter un tplink, ça va aussi vite de le dire direct à la personne)
Il faut probablement documenter avec pas mal de précision tout ça et que des outils soit également adaptés pour faciliter la vie des gens qui vont faire ça (genre une bête liste de "qui sait quoi ou quand"). Qui veut jouer ?
Sur le lancement de la campagne de vote
Ça a été ouvert un tout petit peu avant minuit. Nous avons à 16h environ 30 votants, soit 5.23%